Quelque part entre la Chine, la Russie, l’Inde et l’Iran, la République d’Ouzbékistan se trouve au croisement des empires et des civilisations
De Gengis Kan à l’Union soviétique en passant par Tamerlan et les poètes mathématiciens, ce pays attire de plus en plus de touristes émerveillés. Commençons par Tachkent.
Tach veut dire « pierre » et kent signifie « ville ». La « ville de pierre » est le nom de la capitale ouzbèque. Une cité moderne qui se découvre en un ou deux jours à votre arrivée, le long de ses grands boulevards, sur sa Place de l’Indépendance, au cœur de des parcs et de ses splendides édifices religieux dont les madrasas.
La visite passe par quelques ensembles architecturaux comme la mosquée du Vendredi, le bazar Tchorsou, le délicieux et accueillant marché d’alimentation avec ses étalages et son accueil coloré…
Un peu partout, la « cité de pierre affiche son architecture comme les pages d’un livre d’Histoire. Avec plus de deux mille ans d’histoire, elle a été jalousée, détruite et reconstruite. Le quartier d’Aktépé accueille un site archéologique près de la rivière de Boz-sou. La Cathédrale orthodoxe est un témoignage de la Russie impériale. Tandis que l’opéra et la Tour de la télévision racontent l’époque soviétique. J’adore ces contrastes entre modernité, futur et passé.