Il semble que l'industrie du sexe découvre les vertus cachées de Booking.com et Airbnb. Ces plateformes de location en ligne offrent un anonymat attrayant, mais laissent entrevoir un revers inquiétant.
© Anthony Tran
Tourisme ou tour de passe?
La tendance est prononcée dans les grandes villes. A Bruxelles ou Anvers, 8 lieux de passe privés sur 10 sont des locations touristiques ! Les travailleurs du sexe préfèrent rester dans l’ombre, d’où leur propension à migrer fréquemment de chambre. L’association Payoke, basée à Anvers, souligne l’urgence de ce problème. Leur recommandation ? Prendre des mesures à l’échelle européenne.
Vers un plan de lutte
Un premier pas a été fait par la commission spéciale de la Chambre. Elle propose un plan de lutte contre la traite d’êtres humains, impliquant à la fois l’industrie hôtelière et celle de la location touristique à court terme. Une histoire à suivre…