Le Mexique n’a pas encore donné le coup d’envoi de la Coupe du Monde 2026, mais côté finances, le score s’annonce déjà spectaculaire.
© jose-castillo
Devant un parterre de chefs d’entreprise à Guadalajara, Mikel Arriola, commissaire de la Fédération mexicaine de football (FMF), a annoncé des retombées économiques dépassant les 3 milliards de dollars. Et selon la FMF, c’est plus de 235 % de bénéfices en plus comparé à un week-end de Formule 1 sur le sol mexicain.
3 villes, 13 matches, 5,5 millions de visiteurs
Mexico, Monterrey et Guadalajara seront les trois piliers de cet événement, hébergeant à elles seules 13 matches. Et elles devront aussi accueillir une foule bien dense : 5,5 millions de touristes supplémentaires sont attendus, soit une hausse de 44 % des visiteurs pour les mois de juin et juillet 2026. L’investissement est à la hauteur des ambitions : 200 millions de dollars pour remettre à niveau les trois stades mythiques (Azteca, Akron et BBVA).
Un match pour l’emploi
Cerise sur le taco : environ 24.000 emplois devraient voir le jour à l’occasion de cet événement planétaire, entre restauration, hôtellerie, sécurité et logistique…