

Aujourd’hui, on ne parle plus de chasse, mais de rencontres respectueuses et de moments suspendus. Le lion règne sur la savane avec autorité, la force tranquille de l’éléphant fascine, le léopard reste un caméléon furtif dans les arbres, le buffle incarne la sauvagerie imprévisible, et le rhinocéros, menacé, symbolise la fragilité de la biodiversité africaine.
Pour tout safariste digne de ce nom, en voir même quatre sur cinq laisse un goût d’éternité. En revanche, les cinq réunis pour un seul séjour… c’est la légende. Et ça se raconte encore après le retour.
Le Kruger National Park, s’étendant sur 20.000 km², propose une communion avec la nature. Là, les réserves privées comme Sabi Sands ou Timbavati, associés à des guides ultra‑expérimentés, offrent des safaris en 4×4, à pied ou de nuit, avec souvent des observations de léopards – chose rare et magique. Hôtellerie haut de gamme ou charme rustique au coucher du soleil : Kruger sait surprendre.
Ces deux voisins sont les stars de la Grande Migration.
Le duo permet de vivre deux ambiances : la tradition tribale masaï d’un côté, et les plaines sans fin de l’autre.
Le contraste eau/terre, c’est ici. Safaris en mokoro (pirogue) dans les marécages d’Okavango, et game drives dans Chobe, réputé pour ses milliers d’éléphants. C’est l’endroit idéal pour combiner faune terrestre et fluviale, souvent dans des lodges sobres et intégrés.
Une autre vision avec la plaine blanche salée d’Etosha comme toile. Les points d’eau deviennent des scènes animalières en plein jour. Cerise sur le gâteau, il est parfaitement possible de visiter le parc avec votre véhicule de location. Envoûtant.