Le nouveau Code wallon du tourisme est entré en scène ce 1er juillet, avec pour mission de professionnaliser le secteur tout en le rendant un brin moins bureaucratique.
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Objectif principal : simplifier. Fini les classements à étoiles des hébergements et des attractions. Place à une certification plus fluide, moins “usine à gaz”.
Moins de titres, plus d’efficacité
Autre grand ménage : les maisons de tourisme et fédérations touristiques ne seront plus “reconnues” mais “certifiées”. Nuance subtile, mais symbolique. Et surtout : un nouveau régime de subventions, validé par le gouvernement wallon, entre en vigueur. A ce sujet, les demandes non traitées avant juillet 2025 devront repartir de zéro…
L’appellation “syndicat d’initiative”, un brin désuète, prend sa retraite. Désormais, on parle d’offices du tourisme. Un seul par commune sera certifié, sauf exception accordée par le gouvernement.
Et après ?
Des mesures de transition sont prévues pour éviter les casse-têtes estivaux. Le texte sera révisé début 2026 pour s’aligner sur l’Europe, avec une évaluation complète prévue pour 2027.